Après que la motion ait été rejetée au congrès des députés madrilin, le PNV a constaté cette fois au sénat comment le  PP se comportait devant leur demande d'accélérer les travaux du train à grande vitesse en Araba, Bizkaia et Gipuzkoa : Le sénat espagnol a rejeté la motion de Lakua qui avait l’appui du PSOE.

GARA | MADRID 26 septembre 2013

Le PNV a seulement obtenu que soit enregistré tant au Congrès qu’au Sénat que le gouvernement de Mariano Rajoy n'est pas disposé à faire un effort économique  supplémentaire pour que les chantier du TAV avancent plus rapidement sur le territoire de la CAV (Communauté Autonome Basque).

Comme ce fut le cas la semaine dernière au Congrès hier , au sénat, le PP ,qui dispose de la majorité absolue, a rejeté une motion jeltzale qui réclamait au gouvernement espagnol de s'engager à terminer tous les travaux de plate-forme de l’ « YBasque » pour 2016.

Le PP a réitéré le fait  que cette approche n'est pas réaliste et que le ministère des Travaux publics continue de soutenir cette infrastructure, mais en respectant les contraintes budgétaires auxquelles il doit faire face. Cependant, il a également noté que ce chantier n'est pas paralysé, comme cela s'est produit avec d'autres lignes ferroviaires à grande vitesse prévues dans l'État espagnol.

Mais la sénatrice Maria Eugenia Iparragirre a répondu que si le gouvernement du PP "croyait en ce projet», comme il dit, «il mettrait  en place tous les mécanismes à sa disposition » pour accélérer les travaux.

La motion du PNV a également été contrée par les sénateurs du groupe Amaiur, bien que les arguments utilisés par la  dite coalition basque n'ont rien à voir avec le parti au pouvoir à La Moncloa.

Selon les éléments recueillis par l'agence Efe  Alberto Unamunzaga  a rejeté la construction de ce chantier et a également contesté à la fois le PNV et le PSOE qui disent croire en ce chantier du TAV alors qu’ils ne l’ont même pas inclus dans le récent accord signé par les deux parties dans la CAV(Communauté Autonome Basque). Vous n’avez pas fait « la moindre mention du train à grande vitesse. Vous ne (le) considérez pas ni stratégique ni essentielle et vous osez venir avec cette motion au Sénat », a déclaré le représentant du  groupe Amaiur.

"Au bord de la paralysie"

Le PSOE avait fait une défense passionnée de l'initiative du PNV, et avait ajouté un amendement qui aurait établi que l'exécutif basque se chargerait  spécifiquement des chantiers de l’infrastructure concernant le noeud Bergara-Elorrio, au niveau du tronçon-Gasteiz-Bilbao ainsi qu’au niveau de la gare de Ezkio- Itxaso.

Rodriguez Tontxu a souligné le « caractère stratégique » de ce chantier en lien avec l'Europe, qui «traîne» en raison de l'attitude du gouvernement de Rajoy. "Il est sur le point d’être paralysé  et sera un exemple supplémentaire de la pagaille qui entoure les grands chantiers en Espagne depuis ces  deux dernières années", a ponctué l'ancien maire de Barakaldo.

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PNV y PSOE insisten en adelantar la financiación de las obras del TAV

Tras ser rechazada en el Congreso de los Diputados, el PNV volvió a ver cómo el PP tumbaba su pretensión de acelerar las obras del tren de alta velocidad en Araba, Bizkaia y Gipuzkoa. El Senado español no aceptó la propuesta jeltzale, que contó con el respaldo del PSOE.

GARA | MADRID 26 09 2013

El PNV solo ha conseguido que conste en las actas del Congreso y del Senado que el Gobierno de Mariano Rajoy no está dispuesto a hacer un esfuerzo económico extra para que las obras del TAV avancen más deprisa por el territorio de la CAV.

Como ya había sucedido la pasada semana en el Congreso, el PP rechazó ayer en el pleno del Senado, en el que cuenta con mayoría absoluta, una moción jeltzale en la que se reclamaba al Gobierno español que se comprometa a tener finalizadas todas las obras de plataforma de la «Y vasca» para el año 2016.

Desde el PP se reiteró que ese planteamiento no es realista y que el Ministerio de Fomento mantiene el apoyo a esta infraestructura pero dentro de las limitaciones presupuestarias que afronta. No obstante, también remarcó que este tramo no se encuentra paralizado, como ha sucedido con otras líneas de alta velocidad ferroviarias proyectadas en el Estado.

Pero la senadora María Eugenia Iparragirre replicó que si el Gobierno del PP «creyese en este proyecto» como dice, «pondría en marcha todos los mecanismos a su disposición» para acelerar las obras.

La propuesta del PNV también contó con la oposición de los senadores de Amaiur, aunque los argumentos utilizados por la coalición vasca nada tienen que ver con los del partido que gobierna en La Moncloa.

Como recogió la agencia Efe, Alberto Unamunzaga rechazó la construcción de esta obra y, además, puso en duda que tanto el PNV como el PSOE crean en ella cuando no la han incluido en el reciente pacto suscrito por ambos partidos en la CAV. «Ni la más mínima mención al tren de alta velocidad. Ustedes no lo consideran ni estratégico ni imprescindible y nos vienen con esta moción al Senado», comentó el representante de Amaiur.

«Al borde de la paralización»

Y es que el PSOE había hecho una encendida defensa de la iniciativa del PNV, a la que había añadido una enmienda en la que se contemplaba que el Ejecutivo de Lakua se encargue por encomienda en concreto de las obras de infraestructura pendientes en el nudo Bergara-Elorrio, en el tramo Gasteiz-Bilbao y en la estación de Ezkio-Itxaso.

Tontxu Rodríguez incidió en el «carácter estratégico» de esta obra de enlace con Europa, que «está languideciendo» debido a la actitud del Gobierno de Rajoy. «Está al borde de la paralización y será un ejemplo más del desbarajuste que rodea las grandes obras en España en los dos últimos años», vaticinó el exalcalde de Barakaldo.