Les riverains d’antennes relais se plaignent de nuisances et maux divers : insomnies, vertiges, maux de tête, problèmes de mémoire, troubles cutanés, crises d’épilepsie … Mais il y a plus grave : certaines de ces antennes ont dû être démontées des toits d’établissements scolaires à Saint-cyr-l’école, Draveil, Lyon, Ruitz et autres localités de l’hexagone, suite à des décès, par tumeurs cérébrales, d’enfants en bas âges qui avaient fréquenté ces écoles.
Pourtant, les industriels de la téléphonie mobile et les autorités publiques se veulent rassurants et clament en chœur que la preuve de la mise en cause de ces antennes relais n’est toujours pas établie après des années de recherches et d’observations. Ils ne voient donc pas la nécessité d’appliquer le "principe de précaution" aux populations riveraines de ces antennes étant donné qu’aucune certitude ne vient, selon eux, apporter un lien de causalité manifeste entre la multiplication de ces tumeurs inexpliquées chez les élèves et la présence d’antennes relais implantées sur les toitures ou à proximité des écoles concernées.
Les extraits des journaux télévisés et du documentaire reproduits ci-après montrent à quel point l'on aurait tort de se fier aux seules affirmations de ces experts "officiels" qui, dans un passé plus ou moins récent, ont également cherché à nous rassurer dans les dossiers de l’amiante, du tabac, de Tchernobyl, du sang contaminé, de la vache folle ou encore de la dioxine émise par les usines d’incinération des déchets ménagers.
La méthode qu'ils employent est alors toujours la même : discrédit des études montrant des effets alarmants, au profit d’études rassurantes financées par les industriels et aussitôt labellisées par nos autorités publiques.
LES ANTENNES RELAIS DE SAINT-CYR-L'ECOLE
EXTRAIT DU JOURNAL TELEVISE DE 2OH DE FRANCE 2
13 juillet 2006
EXTRAIT DU DOCUMENTAIRE
TELEPHONIE MOBILE
Sommes-nous tous des cobayes ?
de Joaquina Ferreira