Publié le 9 octobre 2019 par werdna01
Biocontact magazine – octobre 2019 – Hilaire Balandre*-
Et si l’eau gardait l’empreinte de certains éléments avec lesquels elle entre en contact ? Plusieurs scientifiques renommés ont démontré que boire une eau vitalisée, c’est-à-dire porteuse d’une « information » source de vie, à l’instar de celle qui circule dans notre corps, c’est apporter l’énergie subtile dont nos cellules ont besoin. Tout le contraire, donc, d’une eau « morte ». Explications.
Aujourd’hui, sauf pour une partie de la communauté scientifique, frileuse de remettre en cause la physique classique, il n’est plus à douter des résultats liés aux recherches de Jacques Benveniste, chercheur à l’Inserm, qui en juin 1988 publiait un article explosif sur la « mémoire de l’eau » dans la revue scientifique Nature. Cette découverte a bouleversé les fondements de la physique et généré l’une des polémiques scientifiques les plus violentes du XXIe siècle.
La découverte de la mémoire de l’eau
Une des origines de cette découverte date de Rudolf Steiner (1861-1925) intellectuel, philosophe, fondateur de l’anthroposophie. Il avait observé, en entrant dans les chambres de malades à l’hôpital, que le givre formé sur les fenêtres des patients atteints d’une même maladie formait des dessins similaires, et différents dans les cas contraires. De ces observations il a développé des applications dans différents domaines, notamment dans la médecine anthroposophique. S’ajoute à cela le début de la cristallisation sensible ; ce procédé d’obtention de cristaux de liquides par congélation ou évaporation permettait de saisir la qualité d’un produit.
C’est en 1988 que Jacques Benveniste et treize de ses confrères biologistes rendent publics leurs travaux démontrant que les molécules de la matière posséderaient une forme de mémoire qui subsiste, même après de fortes dilutions, alors que toute trace physique de la molécule a totalement disparu. Il s’agirait d’une sorte d’empreinte, de mémoire toujours active bien qu’indécelable : « C’est comme si l’eau gardait la mémoire de la substance disparue, à la façon de la cire, qui garde l’empreinte de la clé qu’on y a moulée », disait Jacques Benveniste. Brian David Josephson, Prix Nobel de physique en 1973, soutient les résultats de l’équipe Benveniste, ainsi qu’une publication d’expériences en août 1988 qui l’atteste également. Pour autant, ces travaux furent discrédités suite à une contre-expertise qui s’est déroulée dans des circonstances plus que douteuses. D’autres laboratoires ont réalisé les expériences de Benveniste, avec succès, mais sans publier, de peur qu’il leur arrive la même chose : un procès « à la Galilée », attaqué, condamné et censuré par les autorités.
L’eau : miroir des émotions C’est avec Masuru Emoto (1943-2014), docteur en médecine alternative, qu’un autre cap est franchi, avec la publication de son premier ouvrage en 1999 sur la forme des cristaux de glace obtenus avec différents échantillons d’eau. Il élabora une méthode consistant à photographier les cristaux d’une goutte d’eau congelée au moment où celle-ci commence à dégeler. Aucune photo n’est identique, rappelant le fait que tous les cristaux de neige sont différents, mais il a observé une parenté dans les formes des échantillons issus d’une même eau. Les images montraient, de manière impressionnante, que l’eau de source et celle des glaciers présentaient de belles structures cristallines, tandis qu’aucune structure n’était reconnaissable dans l’eau du robinet désinfectée avec du chlore. Emoto en concluait que la perfection de la structure cristalline de l’eau exprimait sa qualité. Il poursuivit ses recherches en exposant des échantillons d’eau à des informations de types vibratoire, sonore, émotionnel et mental. Il exposa de l’eau à l’état liquide aux vibrations de différentes musiques : Mozart, Beethoven mais aussi de type heavy metal. Les résultats furent impressionnants : tandis que la musique de Mozart et Beethoven produisait une diversité de cristaux aux formes harmonieuses, celle du style heavy metal formait un cristal brisé, malformé, déstructuré.
Il poursuivit son expérimentation avec des influences d’images, de paroles, de pensées. Il arriva aux mêmes constats : l’eau exposée à des influences positives émettait des cristaux harmonieux, tandis que l’exposition à des concepts négatifs manifestait un effet déstructurant sur les cristaux. L’énergie suit la pensée, la pensée transforme la matière. Emoto désirait ainsi évaluer les qualités subtiles de l’eau, ce qu’il nomme hado, synonyme japonais de l’énergie chi chinoise. Considérant que nos cellules humaines sont constituées à 99,1 % d’eau, nous avons intérêt à reconsidérer l’eau en conscience, celle qui nous entoure, que nous buvons et qui nous constitue.
De la théorie à la preuve scientifique
Un autre pas majeur fut réalisé par le Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine en 2008 (1). Il atteste de la véracité de la mémoire de l’eau par les résultats des recherches réalisées avec son équipe en 2009. Il valide ainsi les travaux de Jacques Benveniste et prouve que l’eau peut garder une fréquence sans trace de la matière exposée ; la transmission d’une information contenue dans l’eau est ainsi possible (en exposant l’enregistrement d’une onde électromagnétique émise par de l’eau à une autre eau, on retrouve l’information de départ). Le principe de la dilution (qui est aussi celui de l’homéopathie) fait partie intégrante de toute expérience mettant en jeu la mémoire de l’eau. Cela démontre que si l’on met en contact une molécule avec de l’eau, puis qu’on retire cette molécule par dilution, à la 24e dilution (ce qui revient à diluer la goutte d’ADN initiale dans tout l’océan Atlantique), il reste un signal électromagnétique de la molécule de base.(2)
Le professeur de chimie et de physique quantique à l’université de Strasbourg Marc Henry œuvre également à la reconnaissance de cette nouvelle approche : il atteste et explique les mécanismes de la mémoire de l’eau, le domaine de cohérence, qui ordonne et structure les molécules d’eau (plus on dilue, plus on a une cohérence), et démontre par-là même, comme le Pr Luc Montagnier, les principes de l’homéopathie et de sa compréhension sur son efficacité thérapeutique (à l’heure du déremboursement de l’homéopathie jugée placebo).
Le quatrième état de l’eau
Enfin, les travaux de Gerald Pollack, docteur et professeur en bioénergie à l’université de Washington, à Seattle (États-Unis), évoquent un état de l’eau qu’il a appelé « quatrième état » ou « zone d’exclusion » (EZ) en corrélation avec la mémoire de l’eau. Cette eau peut à la fois capter une information et délivrer de l’énergie, tout comme une batterie. C’est le type d’eau que contiennent nos cellules ; c’est pourquoi il est important de boire une eau structurée pour une santé optimale ! La densité de l’eau EZ est également d’environ 10 % plus élevée et possède une charge négative (potentiel électrique négatif) ; cela peut expliquer pourquoi les cellules humaines sont chargées négativement.
Comme les plantes, le corps humain n’a pas seulement besoin d’eau, il a aussi besoin de la lumière du soleil. Les rayons, proches de l’infrarouge dans la lumière du soleil, pénètrent réellement notre peau et « informent » l’eau de nos cellules. De cette façon, l’exposition au soleil joue un rôle important dans la production d’énergie de notre corps. Comme l’a noté Gerald Pollack, les cellules agissent réellement en tant que batteries légères. Comme la lumière frappe l’eau contenue dans nos cellules, cette dernière capte l’information et subit la première étape de la photosynthèse : l’eau peut recevoir et transformer l’énergie électromagnétique tout comme les plantes ; de récentes expérimentations confirment la réalité d’une telle conversion d’énergie.
L’eau est divisée en eau chargée positivement et négativement. Au niveau des membranes cellulaires, elle agit comme une mini-centrale hydroélectrique. La différence de pression entre le milieu extérieur et le milieu intérieur de la cellule génère un mouvement et crée une énergie utile au bon fonctionnement de nos cellules.
Mémoire de l’eau, mémoire de l’homme
De l’ensemble de ces avancées scientifiques, nous comprenons la nécessité de donner à notre corps une eau épurée, répondant aux caractéristiques de la bio électronique Vincent, aux caractéristiques physico-chimiques nécessaires à une eau biocompatible : un pH légèrement acide, une eau non oxydante et la moins minéralisée possible (entre 15 et 150 mg/l de minéraux bruts). Mais aussi une eau d’énergie, structurée, vitalisante pour nourrir nos cellules.
Nous sommes issus du monde aquatique, nous venons de la mer et partageons tous un point commun : cette première cellule vivante apparue sur Terre, à partir de laquelle tous les êtres vivants se sont développés. Nous sommes des êtres électromagnétiques : nos cellules contenant 99,1 % d’eau, nous pouvons alors comprendre la résonance qui s’opère avec l’eau qui nous entoure et celle qui nous nourrit. Pour cette raison, faites l’expérience suivante : lorsque vous prenez votre douche, entrez en contact avec l’eau, communiez en conscience, demandez-lui de vous laver sur tous les plans, aimez-la et voyez ce qui se passe subtilement. Puisque l’eau capte l’information de son environnement et que cette information impacte sa qualité, alors prenons soin de l’eau pour prendre soin de nous.
L’eau serait-elle autre chose que ce que l’on croit, un être vivant avec lequel nous pouvons échanger par un autre langage des fréquences, des ondes ? Comment peut-on expliquer un phénomène comme la fontaine magique des Incas d’Ollantaytambo, au Pérou ? Par une simple action du doigt, le débit de son eau diminue considérablement et, lorsqu’on jette ensuite quelques gouttes d’eau, le débit augmente de nouveau. Quelle information contient-elle pour être aussi interactive ? Quelle communication utilise-t-elle ?
Les chercheurs viennent de faire un grand pas depuis qu’ils ont accepté qu’ils avaient tout à apprendre de l’eau. Attachés à vouloir changer les choses, tel le battement de l’aile d’un papillon… nous pouvons transformer le monde ■
« Vers une nouvelle vision de la science ? Ces avancées scientifiques invitent à passer de la physique classique à la physique quantique et ouvrent la voie vers une médecine nouvelle. Des cliniques soignent déjà par spectres de fréquences ou rayonnements, les techniques efficaces sont déjà en place. L’action de l’homéopathie est, quant à elle, avérée par ces découvertes.
Ma vérité sur la mémoire de l’eau, Jacques Benveniste, éd. Albin Michel- Avril 2005 – 226 pages – Prix : 15 €
Le pouvoir guérisseur de l’eau, Masuru Emoto, éd. Guy Trédaniel – février 2012 – 22 € –
Ressources • Association Jacques Benveniste pour la recherche : www.jacques-benveniste.org. • Office Masaru Emoto (en anglais) : www.masaru-emoto.net/en/.
* Hilaire Balandre. Actuellement gérant de Société Eau vivante, Hilaire Balandre est aussi président de l’association A la rencontre de l’eau qu’il a créée pour porter l’organisation du forum du même nom
(1) Luc Montagnier est un biologiste virologue français, né le 18 août 1932 à Chabris, dans l’Indre. Le 6 octobre 2008, il est colauréat avec Françoise Barré-Sinoussi et Harald zur Hausen du prix Nobel de physiologie ou médecine, pour la découverte, en 1983 du VIH, le virus responsable du sida.
(2) Expérience réalisée avec le Pr Giuseppe Vitellio de l’université de Salerne, à voir sur Youtube : « On a retrouvé la mémoire de l’eau
Source : https://resistanceinventerre.wordpress.com/2019/10/09/leau-a-t-elle-une-memoire/