Par Hypatie (son site)
lundi 29 juillet 2019
Ou l'on continue de découvrir que l'injection d'un neurotoxique dans un organisme en plein développement neurologique est une très mauvaise idée.
Il y a 2 ans, Madame Buzyn annonçait fièrement que l’obligation vaccinale allait passer de 3 à 11 vaccins. A l'époque, en tant que jeune maman, je me suis dit que c’était louche, cette histoire.
D’autant que décidément, je ne comprenais pas qu’on retire l’aluminium des vaccins pour chat et des déodorants – l’aluminium est soupçonné de provoquer certains cancers – mais qu’on le laisse dans les vaccins pour nourrissons, alors même que sa neurotoxicité n’est plus à démontrer.
Il était temps pour moi, de faire toute la lumière sur l’alu. Etudes, rapports, livres, documentaires, sites officiels : Ces deux dernières années, j’ai tout épluché. J’ai basculé alors dans un puits sans fond... Et ce que j’ai découvert, est tout simplement ALU-cinant ! A tel point que j’ai décidé d’en faire une vidéo (de presque 2 heures, oui oui, parce qu'en fait, contrairement à ce qu'on nous dit, le sujet est très complexe et mérite qu'on s'y attarde).
Pourquoi l’aluminium ?
L’aluminium, sous toutes ses formes, est un toxique incompatible avec la biologie, capable d’inhiber 200 fonctions biologiques importantes [1].
L’aluminium est très fortement suspecté dans l’apparition de nombreuses maladies : Alzheimer, Parkinson, troubles auto-immuns, sclérose en plaques, maladie de Crohn, syndrome de fatigue chronique, myofasciite à macrophages, cancers, allergies et asthme. Il est surtout neurotoxique : dangereux pour le cerveau.
Or ça tombe mal, injecté dans l’organisme du nourrisson, l’aluminium peut migrer jusqu’à son cerveau par le biais des macrophages : c’est une information d’autant plus alarmante que le cerveau du nourrisson est particulièrement sensible à toute perturbation neurotoxique, perturbations pouvant entraîner à cet âge crucial, des troubles neuro-développementaux, dont l’autisme [2].
Et c’est là qu’on quitte objectivement le domaine de la Raison et de la Science pour entrer dans celui bien plus obscur de l’idéologie pure, celle qui soutient contre vents et marées que « les adjuvants aluminiques sont sûrs ». Ce dogme que je n’hésite pas à qualifier de religieux n’a qu’un but : servir et protéger les intérêts économiques de l’Industrie.
Servir et protéger les intérêts économiques de l’industrie
Comme toute idéologie qui se respecte, celle-ci revêt évidemment le masque du progrès et de la science, avec la complicité des institutions en place et se cachant derrière un soi-disant « consensus scientifique » qui n’a strictement rien de scientifique. Et c’est très facile à vérifier :
- Toutes les agences sanitaires (CDC, FDA, OMS…) assurent que les adjuvants d’aluminium des vaccins sont sûrs, y compris pour le nourrisson.
- Cette affirmation commune ne repose que sur une seule et unique étude : Mitkus 2011[3] produite par la FDA.
- Cette étude est basée sur une seule et unique étude empirique, Flarend 1997 [4] portant sur 4 lapins, observés pendant… 28 jours.
- Manque de pot, cette étude témoigne non seulement d’une pénétration cérébrale de l’aluminium mais aussi d’une très faible élimination des particules d’aluminium, en particulier pour l’hydroxyde d’aluminium (5,6% en moyenne).
- Qu’importe ! Mitkus modélise la charge en aluminium du nourrisson sur de jolies courbes trèèèès rassurantes… bien en dessous des niveaux de sécurité fixés par l’Agency for Toxic Substances and Disease Registry (ATSDR) américain, qui a retenu une Dose Journalière Tolérable d’aluminium de 1mg/kg/jour [5]
- Petit problème : ces courbes dépassent franchement les niveaux de sécurité retenus par l’Autorité Européenne de Sécurité des aliments (EFSA) [6] qui a établi une « dose sans effet » à 0,1mg/kg/jour en 2008, ou sur la courbe, 3,4 mg/kg/jour chez la souris (Alawdi 2016) pendant au moins la première année de vie. [7]
Les doses de phosphate d’aluminium dépassent franchement les niveaux de sécurité européens, tandis que l’hydroxyde d’aluminium se confond avec ce niveau, du fait de l’extrême biopersistance de l’aluminium vaccinal dans l’organisme (Flarend 1997, Khan 2013 [8]. Et ici, on ne parle que de l’apport par la vaccination… auquel il faudrait ajouter les autres sources (alimentaires…)
A noter que selon Guillemette Crépeaux [9], spécialiste de la toxicocinétique des adjuvants aluminiques, il ne peut exister de niveaux de sécurité pour l’aluminium car ces particules dépendent notamment de la toxicité des particules fines, c’est la particule elle-même qui est dangereuse (plus elle est fine, plus elle peut entrer facilement dans le cerveau, via les macrophages). De fait, aucune dose ne peut être une garantie d’innocuité.
- Il est donc parfaitement officiel que les doses d’aluminium injectées aux nourrissons, selon le calendrier vaccinal, sont toxiques, au regard des niveaux de sécurité européens.
- Cela expliquerait peut-être pourquoi Mitkus 2011 est désormais affichée par la FDA avec la mention « l’information contenue sur cette page web est peut-être obsolète » [10] … rassurant, non ?
Je ne sais pas vous, mais pour moi, ni Mitkus ni Flarend ne démontrent l’innocuité de l’aluminium injecté… Au contraire ! Et pourtant, l’intégralité des rapports officiels reposent sur ces 2 études.
Et pour continuer le délire, j’ai découvert que :
- L’EMA dans ses guidelines [11], dispense les adjuvants aluminiques (ainsi que les vaccins) de passer les tests précliniques de toxicité (cancérogénèse, mutagénèse)… c’est pas comme si l’aluminium était cancérigène [12]… Si ? Ah bon.
- L’intégralité des études qui affirment qu’il n’existe aucun lien entre autisme et vaccins n’ont porté que sur le ROR ou le mercure… Et comme par hasard, aucune étude n’a jamais été réalisée sur les vaccins qui contiennent de l’aluminium ! Rajoutons également qu’il n’y a jamais de groupe contrôle non vacciné… Du coup, personnellement, je ne vois pas bien l’intérêt de ces études.[13]
- Les laboratoires ne sont pas responsables de leurs produits : c’est l’État qui l’est (enfin, nos impôts quoi). C’est un peu comme si Boeing ou Airbus n’étaient jamais responsables des accidents d’avion… mais que la population était forcée par la loi d’utiliser leurs engins : je pense que dans ces conditions, la sécurité aérienne serait le cadet de leurs soucis.
- Et le plus beau : les tests cliniques de sécurité fournis par les labos [14] sont systématiquement biaisés par l’utilisation de placebos contenant de l’aluminium, empêchant la détection des effets indésirables. Et c’est parfaitement autorisé !
Adjuvants aluminiques contre placebo ?
Moi qui croyais que la médecine basée sur les faits reposait sur l’usage d’un placebo neutre… Que nenni ! En vérité, c’est le terme même de « placebo » qui a changé de définition :
La placebo n’est plus aujourd’hui, synonyme de « substance neutre » mais plutôt de « composés du vaccin autre que l’antigène » (dans le cas de la vaccination).
Mais, me diriez-vous, ces études avec de vrais placebos, existent-elles ? Eh bien oui !
Il faut citer tout d’abord Asin 2018 [15], une étude remarquable sur le mouton, réalisée par l’Université de Saragosse, qui a osé comparer 3 groupes : des moutons vaccinés à l’aluminium, des moutons à qui l’on a injecté seulement l’adjuvant aluminique, et des moutons de contrôle qui ont eu droit à un véritable placebo.
Oui, Mesdames et Messieurs, la voici, la voilà : enfin une incontestable étude vaccinés/non-vaccinés, tabou absolu s’il en est, que ses auteurs paieront cher par un retrait de publication non justifié, contre l’avis même des experts et à la demande mystérieuse d’un « simple anonyme » [16], le tout dans un silence assourdissant.
Pourquoi ?
Tout simplement parce que les résultats sont sans appel. Les moutons des groupes vaccins adjuvés et des groupes adjuvants aluminiques seuls ont vu leur comportement grégaire changer radicalement : interactions réduites, accès de violence (morsures), stéréotypies, ingestion compulsive de nourriture. Les chercheurs ont retrouvé de multiples granulomes douloureux aux sites d’injection, témoignant de la longue persistance de l’aluminium dans l’organisme.
Le Dr Michel de Lorgeril a justement mis la main sur l’une d’elle, Liang 2010 [17], dans son livre « Analyse scientifique de la toxicité des vaccins 2 » (p 120) [18].
Enfin une étude de qualité sur l’humain, qui observe de manière définitive que « la présence d’alu dans la seringue augmente considérablement la fréquence des effets adverses, notamment par rapport au placebo (15,8%). Cette fréquence monte jusqu’à 40,9% avec une forte dose d’antigène associée à l’aluminium (6ème colonne) contre 26,6% sans alu et dose d’antigène comparable (3ème colonne) ». Cette étude prouve de façon indiscutable que l’aluminium provoque des effets indésirables.
Une dernière question se pose : pourquoi Liang n’a-t-il pas relevé la progression de ces effets indésirables ? Tout simplement parce que personne ne se pose la question.
En effet, du fait d’une première utilisation remontant aux années 20, l’aluminium bénéficie d’un « droit acquis », comme en témoignait en 2002, la spécialiste des adjuvants de GSK, Mme Nathalie Garçon : « si les adjuvants d’aluminium arrivaient aujourd’hui sur le marché, ils ne seraient pas acceptés »[19].
Nos bébés sont donc des cobayes, en overdose chronique d’aluminium, si l’on respecte le calendrier vaccinal. Le Code de Nuremberg ? Primum non nocere ? Un peu de sérieux !
Nous avons troqué des maladies infectieuses contre des maladies chroniques, des troubles auto-immuns et des troubles neurologiques, des allergies et de l’asthme. Sommes-nous vraiment gagnants dans cette histoire ? Ou bien nos enfants sont-ils plus malades que jamais, de façon rentable… euh pardon, chronique. C’est pas moi qui le dit, mais bien Jean-François Bach [20] !
Conclusion
Croire que les adjuvants aluminiques sont sûrs, c’est tout simplement incompatible avec l’intégralité des études expérimentales sérieuses sur le sujet. D’ailleurs, à ce jour, aucun critique n’est parvenu à attaquer mon travail (et ce n’est pas faute d’être régulièrement assaillie par ces « défenseurs » de tout poil) [21].
Il me semble, jusqu’à preuve du contraire, que les vaccins sont des médicaments, pas Le Saint Graal. Chaque composant des vaccins devrait donc témoigner d’une sécurité maximale avant commercialisation, d’autant qu’ils sont destinés à des êtres sains, dès les premiers mois de vie.
Le fait qu’ils ne soient pas testés correctement les disqualifient d’emblée. Les vaccins à l’aluminium doivent retourner à leur place : à la poubelle. L’institut Pasteur l’a fait dans les années 70, remplaçant l’aluminium par le phosphate de calcium [22].
Et en 2019, nous n’en serions pas capable ? Ben voyons….
Sources complètes de la vidéo :
Le Danger des Adjuvants d’Aluminium – LISTE DES SOURCES
Article publié sur le site de l'Aimsib :
Sources :
[1] Kawahara 2011, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3056430/
[2]Contrairement à ce que l’on peut entendre dans les médias, il n’existe aucun consensus scientifique sur l’absence de lien entre les vaccins contenant de l’aluminium et l’autisme. En effet, le rapport de l’Institut of Medecine américain en 2011, que cite le CDC sur leur page dédiée, dit explicitement qu’il est tout simplement impossible de conclure ni à un lien, ni à une absence de lien concernant notamment le DTP américain, adjuvé à l’aluminium : les études n’ont tout simplement jamais été réalisées (p. 546)
https://www.nap.edu/read/13164/chapter/12#546&Prime ;> ;https://www.nap.edu/read/13164/chapter/12#546
Or compte tenu de l’avancée des connaissances à la fois dans les mécanismes de l’autisme, ainsi que dans la pharmacocinétique des adjuvants aluminiques, la plausibilité biologique d’un lien causal entre aluminium, inflammation cérébrale précoce et autisme est aujourd’hui démontrée.
Explication et bibliographie ici : https://alutotal.wordpress.com/autisme-et-adjuvants-daluminium-des-vaccins/
Traduction du site Vaccine Papers : http://vaccinepapers.org/wp-content/uploads/Autism-and-aluminum-adjuvants-in-vaccines.pdf
Étude qui résume l’état des connaissances sur le lien entre autisme et aluminium :
Morris 2017 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5596046/
[3]Mitkus 2011 : https://vaccinepapers.org/wp-content/uploads/FDA-aluminum-paper.pdf
[4] Flarend 1997 : https://vaccinepapers.org/wp-content/uploads/In-vivo-absorption-of-aluminium-containing-vaccine-adjuvants-using-26Al2.pdf
[5] Remarque : sur la courbe, le « niveau de sécurité » affiché est la dose d’aluminium ingérée « sans effet notable » retenue chez la souris en 2001 par l’ATSDR américain, soit 26 mg/kg/jour.
[6] Vous pourriez trouver étonnant qu’on compare des doses d’aluminium injecté à des niveaux de sécurité prévus pour de l’aluminium soluble ingéré via l’alimentation… Et vous auriez bien raison ! Il faudrait le signaler aux experts de la FDA, qui eux, n’y voient aucun problème…
[7] Masson 2017 : https://www.researchgate.net/publication/317281644_Adjuvants_aluminiques_des_vaccins_analyse_critique_des_etudes_toxicocinetiques_de_reference
[8]Khan 2013 : https://www.vaccinssansaluminium.org/wp-content/uploads/2015/12/2013.04-Zakir-Khan-FR.pdf
[9] Crépeaux 2017 : https://vaccinepapers.org/wp-content/uploads/Non-linear-dose-response-of-aluminium-hydroxide-adjuvant-particles-Selective-low-dose-neurotoxicity.pdf
[10] https://wayback.archive-it.org/7993/20170405003134/https:/www.fda.gov/BiologicsBloodVaccines/ScienceResearch/ucm284520.htm
[11] Guideline on Adjuvants in Vaccines for Human Use P.12 : https://www.ema.europa.eu/en/documents/scientific-guideline/guideline-adjuvants-vaccines-human-use-see-also-explanatory-note_en.pdf
[12] L’aluminium est reconnu comme cancérigène certain dans la production d’aluminium : https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_canc%C3%A9rog%C3%A8nes_du_groupe_1_du_CIRC
Il est fortement soupçonné dans le cancer du sein et le sarcome félin.
[13] D’autant que l’affirmation du CDC américain soutenant qu’il n’y a « aucun lien entre autisme et vaccins » repose sur le rapport de l’Institut de Médecine Américain… qui conclut au contraire qu’il est impossible, en l’état des connaissances, de conclure ou d’exclure un lien pour tous les vaccins hormis le ROR : p. 546
https://www.nap.edu/read/13164/chapter/1&Prime ;> ;https://www.nap.edu/read/13164/chapter/1
[14] Rapport de la FDA sur le Cervarix :
https://www.fda.gov/downloads/biologicsbloodvaccines/vaccines/approvedproducts/ucm237976.pdf  ;» ;> ;https://www.fda.gov/downloads/biologicsbloodvaccines/vaccines/approvedproducts/ucm237976.pdf< ;/
Rapport sur le Gardasil (protocole 15, p.38)
https://www.scribd.com/document/367386168/V501-015-00-PRO-VD ?secret_password=j4BXCUs76g4wRtDxk5cy  ;» ;> ;https ://www.scribd.com/document/367386168/V501-015-00-PRO-VD?secret_password=j4BXCUs76g4wRtDxk5cy
A noter : le protocole 18 du Gardasil dit avoir utilisé « a salin-placebo », mais il contenait en réalité tous les autres ingrédients du vaccin (50 µg polysorbate 80 (polyoxyethylene sorbitan mono-oleate « Tween 80 »), 35 µg borax, 9.56 mg sodium chloride, and 0.78 mg l-histidine) comme en témoigne cette étude : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4528880/
Les résultats de ce protocole ont été mélangés à ceux des autres protocoles qui eux, ont utilisé l’aluminium en guise de placebo.
[15] https://www.docdroid.net/sMAYltx/paper-yphrs-4037-201811001554587683-with-suppl-material.pdf
Le 8 mars 2019, cette étude a été retirée abusivement, sans AUCUNE RAISON SCIENTIFIQUE, à la demande d’un « lecteur anonyme ». Elsevier et Pharmacological Research se rendent donc complices de mauvaise conduite scientifique.
[16] Les échanges de mails entre l’équipe de chercheurs et les éditeurs sont visibles ici : https://docdro.id/FNM4o61
Faites-vous votre propre opinion
[17] « Safety and immunogenicity of 2009 pandemic influenza AH1N1 vaccines in China : a multicentre, double-blind, randomised, placebo-controlled trial », Xiao-Feng Liang, Hua-Qing Wang, Jun-Zhi Wang, Han-Hua Fang, Jiang Wu, Feng-Cai Zhu, Rong-Cheng Li, Sheng-Li Xia, Yu-Liang Zhao, Fang-Jun Li, Shao-Hong Yan, Wei-Dong Yin, Kang An, Duo-Jia Feng, Xuan-Lin Cui, Feng-Chun Qi, Chang-Jun Ju, Yu-Hui Zhang, Zhi-Jun Guo,Ping-Yu Chen, Ze Chen, Kun-Ming Yan, Yu Wang https://docdro.id/r7D498k
[18] https://www.editions-chariot-dor.fr/analyse-scientifique-toxicite-vaccins-lorgeril-livre-editions-chariot-dor.html
[19] Worshop on non-clinical Safety evaluation of preventive vaccines, 2002, p.220
http://aitia.fr/erd/wp-content/uploads/2018/08/NATALIE-GARCON-ADJUVANTS-p.220.pdf  ;» ;> ;http://aitia.fr/erd/wp-content/uploads/2018/08/NATALIE-GARCON-ADJUVANTS-p.220.pdf
[20] https://www.fortressbiotech.com/pdfs/bach%20nejm%202002.pdf
[21] La palme revient à un « journaliste » québécois qui a consacré tout un article à ma vidéo, à la demande d’un de ses lecteurs : il avoue fièrement avoir regardé 5 minutes de vidéo, et étudié le sujet pendant… toute une demi-journée. Il était donc parfaitement à même de critiquer un travail portant sur un sujet complexe et basé sur plusieurs centaines de références scientifiques, et qui a demandé 18 mois de labeur. Le lecteur à l’origine de l’article en question m’a avoué ne pas avoir été convaincu par l’argumentaire du « journaliste »… Etonnant.
https://alutotal.wordpress.com/reponse-a-jean-francois-cliche-vaccins-le-grand-mechant-aluminium/
Inutile de préciser que le Monsieur en question n’a pas eu la patience de lire ma réponse… évidemment, ça aurait pris un peu plus de 5 minutes.
[22]https://www.researchgate.net/publication/308878109_Calcium_phosphate_a_substitute_for_aluminum_adjuvants